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Le gouvernement face aux plans sociaux

_________Le gouvernement face aux plans sociaux_________

Face à la flambée redoutée des licenciements et des restructurations, les équipes de François Hollande se sont préparées. Assez pour agir sans céder à la tentation de jouer les Zorro?Le gouvernement face aux plans sociauxFrançois Hollande le savait. En cas de victoire, il devrait affronter une vague de plans sociaux et de fermetures de sites. De ces bombes sociales, symboliques et médiatiques, qui, par un embrasement soudain ou une déclaration maladroite, peuvent ruiner une action gouvernementale pour des mois ou des années. Il n'en connaissait pas l'ampleur, mais durant la campagne, des signaux l'avaient alerté : des décisions repoussées, un volume singulièrement faible de plans de licenciements depuis le début de l'année...
 
Le tout nouveau président n'a pas été démenti. Avant même qu'il soit officiellement investi, plusieurs dossiers se sont rappelés à son bon souvenir. Un jour, il y eut les salariés de Fralib à Gémenos (Bouches-du-Rhône). Le lendemain, les syndicats de l'opérateur de téléphonie SFR. Puis les Petroplus, les Florange, les Sodimédical. Et demain, sans doute, les Air France ou les PSA Aulnay. Tous attendent des réponses avec impatience. 

Ils ne sont pas les seuls. Pour le plus grand plaisir de la droite, les "alliés" du Front de gauche, en pleine campagne pour les législatives, n'hésitent pas à faire de la surenchère. Dès le 15 mai, Jean-Luc Mélenchon a demandé au Premier ministre d'inscrire dans la loi "l'interdiction des licenciements boursiers et des suppressions d'emplois dans les entreprises bénéficiaires". 

Arnaud Montebourg a pris le dossier à bras-le-corps

Pendant les primaires au sein du PS, Ségolène Royal avait aussi imposé comme condition de son ralliement à François Hollande l'introduction, dans le programme de ce dernier, d'un engagement sur le sujet.
Quelle réponse offrir ? Céder à la pression et adopter une loi dont l'efficacité est pour le moins incertaine ? Ou rétorquer, comme Lionel Jospin en son temps, "l'Etat ne peut pas tout" ? Ni l'un ni l'autre ; ni Zorro ni zéro, selon le mot d'un ministre. Ou, plus exactement, un peu des deux dans ce pragmatisme si hollandais. 
Pour l'instant, Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, a pris le dossier à bras-le-corps, recevant syndicats et patronat, se rendant sur des sites menacés de fermeture, promettant la quête de solutions "viables et durables". Un activisme qui rappelle celui des ministres de l'Industrie, voire du chef de l'Etat lui-même sous le quinquennat Sarkozy et qui n'est pas sans risque. Une partie de l'exécutif en a conscience et cherche la parade.

Un "M. Restructurations" comme paravent

L'une des pistes très sérieusement étudiées réside dans la nomination d'un "M. Restructurations".
L'intérêt est avant tout politique : ce superexpert chargé de suivre tous les dossiers sensibles, en cours ou pressentis, servirait de paravent à l'exécutif. Du président de la République au Premier ministre, du ministre du Travail à celui du Redressement productif, nul ne serait plus en première ligne pour tenter de trouver un subtil équilibre entre nécessité d'agir et danger de trop promettre.
Déjà expérimentée par Jacques Chirac et Jean-Pierre Raffarin, en 2003, avec la Mission interministérielle sur les mutations économiques (Mime), la formule a aussi des avantages opérationnels. Elle permet de réagir plus vite en coordonnant localement et nationalement les moyens que les différents ministères peuvent fournir, en évitant les querelles de territoire et d'ego. 

Cette intervention au plus près du terrain recueille l'approbation de tous les acteurs. "Assurer la concertation, aider à la montée de dossiers alternatifs, ramener les gens autour de la table est le seul levier dont dispose le gouvernement", confirme Jean-Pierre Basilien, responsable de la note de conjoncture sociale d'Entreprise & Personnel, une association de DRH de grands groupes. "Les miracles, ni les politiques ni les syndicalistes ne sont capables d'en faire, mais, dans les régions, des exemples nous montrent que si on se met autour de la table, ça marche", renchérit Laurent Berger, le n° 2 de la CFDT.
Le nouvel exécutif sait aussi qu'en matière de restructurations, les actions de fond ne suffisent pas toujours. Et que les symboles l'emportent souvent sur le reste. Figure donc au programme des prochaines semaines une mesure obligeant les groupes industriels à vendre un site dont ils n'ont plus l'usage, dès lors qu'il y a un repreneur crédible. Imaginée par les représentants des salariés d'ArcelorMittal à Florange (Moselle), proposée à François Hollande lors de sa visite en février, reprise aussitôt dans une proposition de loi, l'idée pourrait être plus compliquée à mettre en oeuvre qu'il n'y paraît. En contradiction avec le droit de propriété, elle pourrait se révéler anticonstitutionnelle. Mais peu importe, elle est séduisante et offre une lueur d'espoir aux salariés dont l'usine est menacée de fermeture.

Enfin, si la situation sociale devenait vraiment très dure, les nouveaux gouvernants se réservent une dernière carte, très médiatique. Elle figure dans le 35e engagement du programme du candidat François Hollande : "Pour dissuader les licenciements boursiers, nous renchérirons le coût des licenciements collectifs pour les entreprises qui versent des dividendes ou rachètent leurs actions." 

Personne n'est dupe : "Il est très difficile de trouver les critères pour définir les licenciements boursiers et le montant adéquat qui décourage l'employeur", constate Pascal Lokiec, professeur de droit à l'université Paris-Ouest. Et nombreux sont ceux qui pensent qu'il faudrait renvoyer cette question à une négociation entre syndicats et patronat pour mieux l'enterrer. Pourtant, si les dossiers chauds se multipliaient d'ici à l'été, le gouvernement se résoudrait à inscrire cette mesure au menu du Parlement. Pour que nul ne puisse dire que tout n'aura pas été tenté. 
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#Posté le samedi 26 mai 2012 05:05

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